Le blog des Petits Toupins

Bienvenue sur notre blog ! Nous tenons à souligner que les points de vues exprimés dans nos articles sont personnels et n’engagent que leurs auteurs. Bonne lecture !

Acide ascorbique : l'additif qui se cache dans (presque) toutes les compotes

Vous pensiez bien faire en choisissant une compote "sans sucres ajoutés", un dessert "100 % fruits" ou une purée "bio" ? Pourtant, un ingrédient revient systématiquement, même dans les recettes les plus vertueuses : l'acide ascorbique, aussi appelé vitamine C ou E300. Une étude de l’ANSES (Etude transversale Oqali : Evolution des fréquences de présence d'additifs sélectionnés sur des critères de priorité d'évaluation au sein des produits transformés disponibles sur le marché français) a révélé qu'entre 2008 et 2019, son usage dans les compotes avait bondi de 10 points. Résultat : près de 80 % des compotes et desserts fruités en contiennent aujourd’hui. Pourquoi une telle omniprésence ? Est-ce vraiment indispensable ? Et pourquoi cet additif est-il problématique à nos yeux ?

Les purées de fruits en gourdes sont-elles bonnes pour la santé ?

Les gourdes de fruits sont partout ! Pratiques, légères, elles ont conquis nos rayons, les mains des enfants et les sacs des parents. En repas pour les tout-petits, au goûter des plus grands ou comme encas des sportifs. Elles s’imposent comme une solution incontournable aussi bien à la maison qu'en déplacement.

Leur packaging attrayant et les promesses qu’elles affichent - “sans sucres ajoutés”, “sans arômes artificiels”, “les bons fruits de nos régions” ou encore “faire découvrir le vrai goût des fruits” - rassurent de nombreux consommateurs.

Mais ces affirmations tiennent-elles vraiment leurs promesses ? Derrière leur aspect pratique, les gourdes de fruits soulèvent de nombreux enjeux en matière de nutrition, éducation alimentaire et impact environnemental.

Décryptons pourquoi ce format, aussi séduisant soit-il, doit rester une solution d’alimentation strictement occasionnelle et ne jamais être une habitude de consommation quotidienne.

Se lancer dans un projet “food” : pourquoi la DLC et la DDM sont cruciales ?

Combien de temps un produit alimentaire peut-il rester sur une étagère de réfrigérateur ou dans un placard sans se dégrader ? Quels sont les facteurs déterminants qui influencent sa durée de vie ? Comment déterminer la DLC/DDM des produits que je souhaite commercialiser si je me lance dans un projet “food” ? Dans cet article, nous vous expliquons tout sur les dates limites de consommation (DLC) et les dates de durabilité minimale (DDM), ainsi que l'importance cruciale de leur validation lors du lancement d’un projet dans le secteur alimentaire, à travers notre expérience sur le sujet.

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